Il est bon d’être patron, avec des tonnes de projet en tête, en passant sur le recrutement des employés, faire tourner sa boîte et ceci à long terme. Seulement l’inconvénient c’est que pour rester à cette place-là un seul bagage ne suffit pas. Les décisions finales de tout département reviennent au patron et cela au risque et péril de l’entreprise.
Plusieurs facteurs pourront être la cause du ralentissement l’une de ces facteur est la dette technique.
La dette technique :
En tant que premier responsable du projet de développement de l’entreprise, le chef de projet digitaldevrait être en acquisition de toute l’information utile ou pas au lancement du projet. Toutes les cartes devront être entre ses mains en cas d’obstacle amenant à ralentir ou à abandonner un projet important dans une entreprise. La bonne pratique est alors une qualité à ne pas négliger pour trouver le sucée.
Faute de pression obtenue par son supérieur le développeur a tendance de prendre à la va-vite les décisions sans considérer les points évoqués par les techniciens. De décoder sans comprendre les décisions des techniciens. Ce geste malheureux impliquera la santé du projet à ralentir la cadence que le développeur mettra du temps à se rattraper.
Pour éviter la dette technique :
Il est de qualité du professionnalisme de faire les choses à temps, dans les normes toute en respectant le plan déjà préétabli pour le projet. Les casquettes du développeur devront être de couleurs différentes pour gérer la pression de son patron, mais aussi de ne pas laisser une dette technique pouvant mettre en mauvaise posture le successeur du projet.
Le meilleur matériel :
Toute peine mérite salaire. Que ce soit de la discussion sur table que dans la pratique et avec une bonne tactique dotée des techniques les plus extrêmes. Les bons matériels fournissent une bonne qualité de travail. Le développeur devrait exiger un équipement complet et performant pour mener à bien le déroulement du projet. C’est un détail que les patrons oublient de prendre en compte dans la plupart de cas, mais qui est aussi un facteur de ralentissement d’un projet.
Les nouvelles technologies :
Bien qu’il soit difficile de manipuler les produits évolutifs, c’est un mal nécessaire surtout dans les constructions nécessitant ce besoin. C’est plutôt un rythme monotone de suivre l’ancien technique mais ce serait plus judicieux si l’évolution prend sa place pour un résultat meilleur est rapide.
S’éterniser sur une estimation sans valeur :
Le principe de l’estimation est utile mais s’éterniser sur ce point reste un temps perdu pouvant nuire au développement du projet. Surtout dans le cas du chef de projet digital dont les projets sont nombreux et qui devront être achevé dans un bon terme.
Ce genre d’occupation est un peu superflu étant donné que les connaisseurs pourraient ne pas besoin du chef de projet mais ils préfèrent discuter directement aux techniciens.